Un jour sur Terre, j'ai aimé
Un jour sur Terre est un film-reportage qui est sorti au cinéma le 10 octobre 2007. Je viens seulement d'avoir l'occasion de le voir et j'ai pensé qu'il valait la peine qu'on en parle un peu.
Nous commençons dans l'univers pâle et glacé de l'Arctique où le Soleil déserte les paysages la moitié de l'année. Les ourses polaires s'enterrent sous l'épais tapis de neige pour mettre bas et attendre patiemment le retour du premier rayon de Soleil au mois de mars. Avec émotion nous regardons évoluer les oursons derrière leur maman sur la banquise, patauds et inquiets. L'image est mignonne, le message est tout autre. Maman ourse est affamée et les phoques (seul gibier dans cet immense désert de glace) sont devenus rares et difficile à atteindre. En effet, la banquise fond, fond, et fond toujours, condamnant les ours à mourir de faim.
Ce message profond est sous-jacent à chaque instant : du désert froid au désert aride, le réchauffement dérègle la nature et amène de nombreuses espèces à diminuer, jusqu'à disparaître dans un futur proche.
Loin de moi l'idée de venir ici déballer une morale que l'on entend souvent, très souvent. Mais lorsque l'on voit de nos yeux la nature en souffrir autant, on ne peut que s'en émouvoir.
Le film n'est pas tombé dans le travers de nous montrer des images morbides et tristissimes. Il s'attache bien plus à nous montrer des plans grandioses de la nature, à nous ré-impressionner nous, les blasés de ce qui nous entoure. Il nous emmène dans un spectacle magique, éblouissant et attendrissant.
A nous spectateurs, à travers ce récit, de faire nos conclusions -même si la voix off nous aide tout de même clairement à les faire à la fin du film ! - (ça calme)
Je vous conseille vivement de le voir. Je vous conseille également de visiter son site officiel qui est, lui, destiné à nous sensibiliser et à nous faire agir.
A ceux qui aiment la Terre, bien le bonsoir.
Nous commençons dans l'univers pâle et glacé de l'Arctique où le Soleil déserte les paysages la moitié de l'année. Les ourses polaires s'enterrent sous l'épais tapis de neige pour mettre bas et attendre patiemment le retour du premier rayon de Soleil au mois de mars. Avec émotion nous regardons évoluer les oursons derrière leur maman sur la banquise, patauds et inquiets. L'image est mignonne, le message est tout autre. Maman ourse est affamée et les phoques (seul gibier dans cet immense désert de glace) sont devenus rares et difficile à atteindre. En effet, la banquise fond, fond, et fond toujours, condamnant les ours à mourir de faim.
Ce message profond est sous-jacent à chaque instant : du désert froid au désert aride, le réchauffement dérègle la nature et amène de nombreuses espèces à diminuer, jusqu'à disparaître dans un futur proche.
Loin de moi l'idée de venir ici déballer une morale que l'on entend souvent, très souvent. Mais lorsque l'on voit de nos yeux la nature en souffrir autant, on ne peut que s'en émouvoir.
Le film n'est pas tombé dans le travers de nous montrer des images morbides et tristissimes. Il s'attache bien plus à nous montrer des plans grandioses de la nature, à nous ré-impressionner nous, les blasés de ce qui nous entoure. Il nous emmène dans un spectacle magique, éblouissant et attendrissant.
A nous spectateurs, à travers ce récit, de faire nos conclusions -même si la voix off nous aide tout de même clairement à les faire à la fin du film ! - (ça calme)
Je vous conseille vivement de le voir. Je vous conseille également de visiter son site officiel qui est, lui, destiné à nous sensibiliser et à nous faire agir.
A ceux qui aiment la Terre, bien le bonsoir.